Mesurer l'énergie humaine
Bio-Well est un outil d’analyse qui permet de mesurer et de suivre à travers le temps de nombreux paramètres concernant l’état de bien-être.
Les mesures se basent principalement sur trois dimensions : stress, énergie et équilibre.
D’autres informations sont également délivrées concernant les différents organes et systèmes du corps.
La caméra Bio-Well extrait des électrons au bout des doigts (effet Kirlian) et traduit ces images à travers le système des méridiens.
Les données restituées en font un outil puissant pour de nombreux praticiens de bien-être ou de santé.
D'un point de vue physique, que mesure la méthode GDV et la caméra Bio-Well ?
Base scientifique : La mesure GDV est basée sur la stimulation des émissions de photons et d’électrons de la surface de l’objet mesuré, quand celui-ci reçoit de courtes impulsions électriques. En d’autres termes, lorsque l’objet est placé dans un champ électromagnétique, ce sont principalement des électrons et, dans une certaine mesure, des photons, qui sont «extraits» de la surface de l’objet. Ce processus est appelé «émission électrophotonique». Les particules émises accélèrent dans le champ électromagnétique, générant des « avalanches » électroniques sur la surface du diélectrique (verre qui ne conduit pas l’électricité mais laisse s’exercer les forces électrostatiques).
La décharge provoque une lueur due à l’excitation des molécules dans le gaz environnant, c’est cette lueur qui est mesurée par la méthode GDV. Par conséquent, les impulsions de tension stimulent l’émission optoélectronique tout en intensifiant cette émission dans la décharge de gaz, en réaction au champ électrique créé.
L'OMS et la prise en compte de la dimension énergétique
L’OMS, en 2018, a intégré dans le nouveau catalogue international des maladies (CIM), les blocages énergétiques comme cause possible de pathologies.
La CIM est la base de l’identification des tendances et des statistiques en matière de santé dans le monde entier et constitue la norme internationale de classification diagnostique pour la déclaration des maladies et de l’état de santé à toutes fins cliniques et de recherche. La CIM définit l’univers statistique des maladies, troubles, blessures et autres affections connexes d’une manière globale et hiérarchique, de sorte qu’elle permet de :
– Stocker l’information sur la santé facilement et facilement pour l’utiliser et l’analyser afin de prendre des décisions fondées sur des données probantes.
– Partager et comparer l’information sur la santé.
– Analyser et comparer les données sur la santé au fil du temps
Le 18 juin 2019 donc, l’OMS a publié une nouvelle version de la CIM (CIM 11) pour permettre à ses états membres de préparer sa mise en œuvre, y compris la traduction de la CIM en langues nationales. La CIM 11 a été présentée à la 144ème session du conseil exécutif et fut présentée à la 74e assemblée mondiale de la santé en mai 2019.
Les états membres de l’OMS commenceront à l’utiliser à partir du 1er janvier 2022.



